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dimanche 28 mai 2017

Il y a-t-il collusion entre le tribunal de proximité de Brest et le Crédit Agricole ?



Par Gérard Faure-Kapper


"Un lanceur d'alerte est toute personne, groupe ou institution qui, ayant connaissance d'un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective." (définition Wikipedia)

Oui c'est dangereux aujourd'hui d'exercer son devoir de vigilance citoyenne. A l'APLOMB, il y a déjà 2 mises en examen.

Avec cet article, je pense avoir encore de gros problèmes. Mais si je ne l'écris pas, je risque d'être accusé de non-dénonciation de malfaiteur.

J'écris ce qui suit sous ma seule et unique responsabilité.


Cette affaire oppose un client à sa banque, le Crédit Agricole, 14 square Pierre Corneille à 29860 Plabennec.

L'audience a eu lieu le 2 mars 2017.


Le client présente une étude dont je suis l'auteur, de 11 pages, appuyée sur une reconstitution quotidienne des mouvements sur le compte reprenant le détail de 3250 écritures resituées dans leur contexte.


L'étude a été soumise au Crédit Agricole qui n'a pas nié les chiffres.


Le problème, c'est le taux effectif global exprimant le rapport entre les découverts et leur coût, qui est calculé à 64,26%. Taux usuraire que la banque ne conteste pas.



La juge n'a fait aucune référence à cette étude dans son jugement. pourtant, cette étude établi les FAITS, objet de la requête.

Comment la juge a-t-elle pu juger une affaire dont elle n'a pas prise connaissance ???

C'est la définition exacte du déni de justice. 



Le tribunal n'a tenu compte que de l'avis du Crédit Agricole. Il a simplement copié cet avis sur le jugement.

Or, Madame la Juge, avec tout mon respect, je constate que vous avez été abusé par le Crédit Agricole. Je m'interdis de penser qu'il puisse y avoir collusion ou arrangement. 

Lisez ma démonstration:

Je vous cite:

"Alors qu'il ressort des conditions contractuelles que les commissions d'intervention correspondent à l'analyse par la banque de la situation d'un compte en cas d'irrégularité (ordre de paiement irrégulier, coordonnées bancaires inexactes, absence ou insuffisance de provision...)"

Fin de citation.

Madame la juge, le Crédit Agricole se moque de vous (devrais-je parler d'outrage).


Un ordre de paiement irrégulier, c'est notamment une anomalie sur le chèque, absence de signature, absence d'endos, non concordance de la somme en chiffre et en lettre, absence de date ou validité dépassée, )

Ces anomalies provoquent automatiquement le rejet de l'écriture, quelle que soit la position du compte. Il n'y a donc aucune analyse de la situation du compte, puisque c'est le moyen qui est entaché d'une anomalie. 

Le Crédit Agricole le sait très bien et vous a volontairement menti.



Des coordonnées bancaires inexactes. Ceci était possible avant, lorsque tout était manuel. Un client qui donne un ordre de virement sur un papier libre peut se tromper dans le n° du compte.

Or, depuis l'apparition des Relevés d'Identité Bancaire, RIB, la banque est obligée de vérifier les coordonnées, sinon elle engage sa responsabilité.

Le motif de rejet pour coordonnéees inexacte est donc impossiblie depuis l'apparition des RIB, c'est à dire 1970. Presque un demi siècle.

Le Crédit Agricole le sait très bien et vous a volontairement menti.



Reste l'absence ou l'insuffisance de provision, seul motif d'intervention pouvant donner lieu à une facturation.


Je vous cite

"...sans  être lié à une orpération de crédit, ces commissions n'entrent pas dans le calcul du TEG alors même que la situation du compte de monsieur xxx ne fait nulle mention d'un débit permanent accepté par la banque, l'étude du compte conduisant à une acceptation ou un refus de paiement selon le cas."

Fin de citation.


Là, le Crédit Agricole fait un sac de noeud. 

Quand ils disent "sans  être lié à une orpération de crédit, ces commissions n'entrent pas dans le calcul du TEG..."

Il y a la facturation d'un service par la banque. L'objet de cette facturation est l'étude d'un découvert du montant de l'écriture en suspens. Un découvert, comme chacun sait, est un crédit.

Comment pouvez-vous écrire que l'étude de ce crédit n'est pas lié à ce crédit ? Excusez-moi, mais c'est un non sens.

De plus, vous affirmez, sans aucun élément pour le faire, vous décrétez que ces commissions n'entrent pas dans le calcul du TEG.

Je vais essayer de vous expliquer ce qui est du niveau cours moyen 1.

Un TEG (taux effectif global), n'est pas une boîte dans laquelle on rentre ou non des éléments.

Le TEG est l'expression d'un rapport proportionnel entre le montant des découverts, leur durée et leur coût.

On connaît le montant et la durée. Reste le calcul du coût. C'est l'objet de mon étude.

Je prends un exemple. Je vous prête 100€. Pour celà, j'ai étudié votre situation financière, et je vous facture 8€.

Question: Combien vous a coûté de prêt de 100€ ?

Vous allez me dire, 8€.

Bien, si vous l'exprimez en pourcentage, combien.

8€ par rapport à 100€, cela fait ? 8%.

Donc, les frais rentrent bien dans le calcul du TEG (je crois que c'est le 311 ou 314 du code de la consommation qui vous apporte la confirmation juridique.



Début de citation:

"... alors même que la situation de compte de M xxx ne fait nulle mention d'un débit permanent accepté par la banque,..."

Fin de citation

Cela s'appelle une autorisation de découvert contractualisée, et ça n'a rien à voir dans la démonstration.


Début de citation

"... l'étude du compte conduisant à une acceptation ou un refus de paiement selon le cas."

Fin de citation
Là, c'est le crédit Agricole qui fait une erreur.

Le chargé de clientèle ne décide pas de payer ou non une écriture. Comptablement ça n'aurait aucun sens.

Le chargé de clientèle décide d'accorder ou non un découvert. Celui-ci permettra à l'écriture d'être payé.


Je ne sais pas si vous saisissez la nuance, mais je peux vous dire que les employés de banque sont très rares à la saisir. C'est même une incompétence inquiétante.


Donc, la liste des frais que j'ai porté à votre connaissance, rémunère les études et acceptation de découvert.

Ces frais en alourdissent naturellement le coût et en augmentent mécaniquement le TEG.


Si le chargé de clientèle n'accorde pas le découvert, alors il facture un forfait de refus. Dans ce forfait, il y a souvent, entre autre, des commissions d'intervention. mais, dans ce cas, ces interventions sont d'une autre nature et sont administratives.

En effet, aucune banque ne prélève des frais d'étude pour un crédit qu'elle a refusé.



Conclusion, Madame la juge, avec tout mon respect, je vous informe que vous avez commis un déni de justice. 


















mardi 23 mai 2017

Une plainte a été déposée par le Crédit Mutuel de Laval contre le Vice Président de l'APLOMB


Par Gérard Faure-Kapper

Lundi 22 mai 2017, le vice président de l'Aplomb a été convoqué par les services de police de Laval, afin d'être interrogée.

Dans cette affaire, Maître Katia Debay assurera la défense.

Néanmoins, de très nombreuses questions se posent.


Il s'agit d'une plainte en diffamation suite à un article publié le 9 février 2017 dans ce blog.



1ère question sur la personne visée par la plainte.

Comment se fait-il que ce soit l'auteur présumé d'un article qui est visé par la plainte, alors que normalement, c'est l'administrateur du blog qui doit l'être. En effet, ce blog n'est pas public. C'est donc moi-même qui est concerné et non le vice président de l'APLOMB



2ème question sur la capacité de l'auteur de la plainte à agir.

D'après mes information, c'est le Crédit Mutuel de Laval Avesnières qui est le plaignant. Le Crédit Mutuel étant une personne morale, c'est donc au travers des son représentant légal.

Or, et c'est au coeur de l'affaire, il semble que le Conseil d'Administration qui a nommé ce Président a été élu en violation des statuts, il s'agit notamment du nombre de pouvoirs attribués. Notre avocate a demandé au Crédit Mutuel de communiquer le compte rendu de l'AG, les feuilles de présence émargées ainsi que les formulaires de pouvoir.

La justice doit soulever d'office cette question de capacité à agir du président du Crédit Mutuel.



3ème question sur la cohérence de la plainte.

L'accusation est la diffamation. Il s'agit de fausses allégations. Or ça ne tient pas.




LES FAITS



Le 17 janvier 2017, le conseil d'administration se réuni et décide d'exclure 2 Sociétaires. Il est rappelé dans la lettre d'exclusion, que les intéressés doivent rembourser l'ensemble de leurs prêts.

En violation complète des principes rappelés sur un site confédéral, le Conseil d'administration exclu les intéressés des débats, niant ainsi le droit fondamental et inaliénable de la défense.



Le 9 février 2017, conscient de son devoir de vigilence citoyenne, l'intéressé propose un article qui sera publié dans un blog étranger.

Il dénonce cette affaire, invoquant des raisons fallacieuses.



Le 11 avril 2017, les intéressés font appel devant l'Assemblée Générale et sont aussi exclus des débats.L'Assemblée Générale, composée d'une soixantaine de personnes, confirme l'exclusion avec plus de 300 voix.



Le 18 avril 2017, les sociétaires sont prévenus par un courrier du président. Celui-ci reconnait que la situation des Sociétaires justifient que le remboursement des prêts ne peut être demandé.

Le président de la Caisse, à l'origine de l'exclusion, reconnaît ainsi que les arguments ayant provoqués l'exclusion, sont fallacieux.



Le 20 avril 2017, une lettre de "réhabilitation" est envoyée aux intéressés en leur confirmant qu'ils sont de nouveau  Sociétaire.



Le 22 mai 2017, l'intéressé est convoqué par la police. 

Le Président de la Caisse d'Avesnières, qui a reconnu par écrit que les arguments étaient fallacieux

porte plainte contre l'intéressé pour avoir écrit... que les arguments étaient fallacieux. 



Un bras de fer judiciaire est maintenant engagé.





En tant que Président de l'APLOMB, je ne peux pas tout dévoiler des tenants et des aboutissants de ces affaires.

Néanmoins, je lance ce message au Conseil d'Administration de la Caisse de Crédit mutuel de Laval Avesnières


Convoquez une Assemblée Générale Extraordinaire, au cours de laquelle vous démissionnerez !


Une liste de Sociétaires de présentera aux suffrages. C'est un groupe équilibré, représentant la diversité du tissu social de Laval, mais ayant des compétences confirmées pour renplir ce mandat. En outre, ils suivront avec rigueur l'ensemble des dispositions des statuts.

Démissionnez Mesdames et Messieurs, le bon sens et l'honneur vous le commandent.





Un message pour les avocats du crédit mutuel. 

Vous passez beaucoup de temps à faire des copies d'écran et des copier/collé.

Demandez-moi les originaux, tout le monde gagnera du temps


















vendredi 19 mai 2017

Nous mettons de plus en plus de pression sur les banques et les victoires s'accumulent.


Par Gérard Faure-Kapper

Affaire de l'Assemblée Générale du Crédit Mutuel de Laval-Avesnières. Notre avocate a demandé à la Caisse de lui fournir 3 éléments:

Le compte-rendu de l'Assemblée
Les feuilles de présence émargées
Les formulaires de pouvoir.

Sitôt ces informations fournies, nous allons mener une étude approfondie qui donnera lieu à un rapport sur la conformité ou non de cette Assemblée Générale.

D'autre part, et pour cette même Caisse, j'ai été missionné ce matin par deux Sociétaires pour le calcul du coût de ses découverts.

A première vue, il est évident que le coût de ses découvert n'est pas reflété par le TEG annoncé.

A la différence des autres affaires qui se traitent en Civil, les Sociétaires a l'intention d'attaquer en Pénal pour un délit d'usure présumé.

Enfin, j'ai rendez-vous le 1er juin 2017 avec la direction de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.

Dossiers et chiffres en main, nous allons demander leur intervention sur les pratiques des banques en matière de coût des découverts.

Pour les dossiers en cours, et afin d'éliminer tout risque de défaite, les 206 dossiers en cours feront d'abord l'objet d'un signalement auprès de la DGCCRF.

Si vous nous avez confié votre dossier, vous comprendrez ainsi que les délais sont long, mais nous voulons absolument gagner.



Par ailleurs, avec Katia Debay, les victoires s'accumulent.


Voici quelques victoires auxquelles il faut rajouter e nombreuses négociations fructueuses en direct


Le 5 mai 2017, Cour d’Appel de Colmar,
Le 5 mai 2017, Cour d’Appel de Paris,
Le 29 avril 2017, Tribunal de Grande Instance de Bergerac
Le 17 mars 2017, Tribunal de proximité d’Alençon
Le 17 janvier 2017, Tribunal de Grande Instance de Saintes
Le 8 décembre 2016, Cour d’Appel de Chambéry
Le 24 novembre 2016, Cour d’Appel de Versailles
Le 8 novembre 2016, Cour d’Appel d’Angers
Le 2 novembre 2016 Tribunal de Proximité de Pantin
Le 13 octobre 2016, TGI d’Aix en Provence
Le 31 octobre 2016, Tribunal de Grande Instance de Laval
Le 4 octobre 2016, Tribunal de Grande Instance de Douai
Le 13 septembre 2016, Tribunal de Grande Instance de Lyon
Le 28 juillet 2016, Tribunal de Grande Instance de Nantes
Le 8 juillet 2016, Tribunal de Grande Instance de Versailles.
Le 23 novembre 2015, Tribunal de Grande Instance de Toulouse
Le 30 juillet 2015, Tribunal de Grande Instance de Metz
Le 7 mai 2015, Cour d'Appel de Paris
Février 2015, Cour d’Appel d’Angers
Le 24 novembre 2014, Tribunal de Grande Instance de Créteil
Le 17 novembre 2014, Tribunal de Grande Instance de Laval
Le 10 novembre 2014, Tribunal d’Instance de Lagny sur Marne
Le 22 septembre 2014, Tribunal de proximité de Thionville
Le 21 mai 2014, Tribunal d’Instance de Douai
Le 26 mai 2014, Tribunal du Commerce de Lyon
Le 9 mai 2014, Tribunal de Grande Instance de Grasse, Juge de l’Exécution.
Le 2 septembre 2013, Tribunal de Grande Instance de Montpellier
Le 23 décembre 2011, Tribunal d'Instance d'Ivry sur Seine



Le 5 mai 2017, Cour d’Appel de Paris

Une militante de l’APLOMB contre la Banque Populaire Rives de Paris
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB de Gérard FAURE-KAPPER

Objet : demande de remboursement de commissions d’intervention pour 18.982,27€
Résultat : le tribunal condamne la BPRDP à rembourser la somme de 18.982,27€ plus 8.000€ au titre des frais de justice engagés.


Le 3 mai 2017, Cour d’Appel de Colmar

Une cliente de l’APLOMB contre le CRCA AV
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de Jean-Claude JOUFFREY

Objet/ Obligation de mise en garde pour un prêt immobilier.
Résultat : La banque est condamnée à verser 30.000€ de dommages et intérêts ainsi que 3.55€ d’article 700.


Le 29 avril 2017, Tribunal de Grande Instance de Bergerac

Un couple de militants de l’APLOMB contre le CFCAL
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de Jean-Claude JOUFFREY

Objet : Expulsion en cours et TEG erroné sur un prêt immobilier.
Résultat : Le tribunal a annulé la procédure d’expulsion et a réduit le TEG du prêt au taux légal.


Le 17 mars 2017, Tribunal de proximité d’Alençon

Une militante de l’APLOMB contre la Banque Populaire de l’Ouest
Dossier défendu par la cliente, à partir d’une étude de l’APLOMB supervisée par Maître Katia DEBAY

Objet : demande de remboursement de commissions d’intervention pour 2.313,31€
Résultat : le tribunal condamne la Banque Populaire de l’Ouest à rembourser la somme de 518,18€.


Le 17 janvier 2017, Tribunal de Grande Instance de Saintes

Un militant de l’APLOMB contre le Crédit Mutuel
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné sur un prêt immobilier.
Résultat : Le tribunal a tout accordé au client : 18.036,97€ de remboursement immédiat, plus 800€ au titre des remboursements de frais de justice, plus le recalcul au taux légal des intérêts sur le restant de la durée du prêt.



Le 8 décembre 2016, Cour d’Appel de Chambéry

Une militante de l’APLOMB contre le Crédit Agricole
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY

Objet : Saisie, 900.000€ demandé.
Résulta : saisie stoppée, recalcul au taux légal sur 900.000€ sur 10 ans.



Le 8 novembre 2016, Cour d’Appel d’Angers

Un militant actif de l’APLOMB contre le Crédit Mutuel de Laval.

Objet : Affaire complexe concernant des fautes de la banque dans l’affectation des fonds, suite à un remboursement de prêt immobilier.
Résultat : Le client avait gagné en 1ère instance et gagne en appel 61.000€



Le 13 octobre 2016, TGI d’Aix en Provence

Un adhérent de l’APLOMB contre la Lyonnaise de Banque
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY


Objet : TEG erronés sur 2 prêts.
Résultat, le tribunal accorde les remboursements demandé ainsi que les articles 700. Gain pour le client : 72.842,56€



Le 24 novembre 2016, Cour d’Appel de Versailles

Un client contre le CIC
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY

Objet : Le client était caution pour 128.600€ et devait pour son compte débiteur, 5.033€. Il avait perdu en instance contre le CIC
Résultat : La Cour d’Appel déboute le CIC et annule le jugement. Le client a gagné 133.613€



Le 2 novembre 2016 Tribunal de Proximité de Pantin

Une militante de l’APLOMB contre le LCL
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB de Gérard FAURE-KAPPER

Objet : demande de remboursement de commissions d’intervention pour 1.674€
Résultat : le tribunal condamne le LCL à rembourser la somme de 1.674€ plus 2.000€ au titre des frais de justice engagés.



Le 31 octobre 2016, Tribunal de Grande Instance de Laval

Un militant de l’APLOMB contre le Crédit Mutuel de Laval St Tugal
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné sur un prêt immobilier.
Résultat : Le tribunal a tout accordé au client : 13.876,60€ de remboursement immédiat, plus 2.000€ au titre des remboursements de frais de justice, plus le recalcule au taux légal des intérêts sur le restant de la durée du prêt.



Le 4 octobre 2016, Tribunal de Grande Instance de Douai

Un militant de l’APLOMB contre la Banque Populaire
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB

Objet : la Banque Populaire réclamait 89.064€ au client.
Résultat : le tribunal a abaissé la prétention de la banque à 76.431€ soit une économie de 12.633€



Le 13 septembre 2016, Tribunal de Grande Instance de Lyon

Un client contre le LCL
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY

Objet : fraude à la carte bancaire
Résultat : le tribunal condamne la banque à payer le montant du préjudice, soit 19.145€ plus 1.500€ au titre des dommages et intérêts plus 1.000€ au titre de remboursement des frais de justice.



Septembre 2016

Négociation de Katia Debay avec une banque pour un TEG inexact.

La banque offre 40.000€ demandés.
Le client a accepté



Le 28 juillet 2016, Tribunal de Grande Instance de Nantes

Un militant de l’APLOMB contre la Caisse d’Epargne Pays de Loire.
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné d’un prêt immobilier. Demande d’annulation de la stipulation d’intérêts
Résultat : Le tribunal condamne la Caisse d’Epargne à restituer au client la somme de 7.747,22€ plus 3.000€ au titre du remboursement des frais de justice, plus le recalcul sur toute la durée du prêt (30 ans) des intérêts au taux légal. Ils passent de 5,35% à 0,38%



Le 8 juillet 2016, Tribunal de Grande Instance de Versailles.

Une militante de l’APLOMB contre la Banque Populaire Val de France
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné de prêt immobilier. Demande d’annulation des intérêts.
Résultat, le tribunal condamne la Banque Populaire à payer à la cliente la somme de 41.026€ plus 2.500€ au titre du remboursement des frais de justice.



Le 23 novembre 2015, Tribunal de Grande Instance de Toulouse

Une militante de l'APLOMB contre la Banque Populaire Occitane.
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER

Objet : Demande de remboursement de commissions d’intervention pour 5.088€
Résultat : Le tribunal condamne la Banque Populaire Occitane à rembourser le client de la somme de 5.088€.



Le 30 juillet 2015, Tribunal de Grande Instance de Metz

Un militant de l’APLOMB contre la Banque Populaire de Lorraine Champagne.
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné sur un prêt immo, demande de substitution dut taux conventionnel par le taux légal.
Résultat : Le tribunal condamne la Banque Populaire Lorraine Champagne à rembourser le client de la somme de 9.687,40€ représentant le trop perçu passé. Condamne la banque à recalculer pour chaque année future au taux légal. Condamne la banque aux dépens. Condamne la banque à verser 1.500€ au titre de l'article 700. Condamne la banque à une astreinte de 50€ par jour de retard.



Le 7 mai 2015, Cour d'Appel de Paris

Une militante de l'APLOMB contre la BNP
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY, à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER

Objet: Demande de remboursement des frais d'intervention, suite à un jugement en instance non satisfaisant.
Résultat: Le tribunal condamne la BNP à rembourser l'intégralité des frais demandés plus 2.000€



Février 2015, Cour d’Appel d’Angers

Un militant de l’APLOMB contre le LCL ;

Dette forclose. 29.000€ de gagné



Le 24 novembre 2014, Tribunal de Grande Instance de Créteil

Une militante de l’APLOMB contre la SA Crédit Logement.
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné sur un prêt immobilier, dossier prescrit.
Résultats : Le TEG est erroné, la prescription sans objet. Le tribunal diminue la dette de cette cliente de 27.968,35€.



Le 17 novembre 2014, Tribunal de Grande Instance de Laval

Un militant de l’APLOMB contre la Caisse de Crédit Mutuel de Laval Saint Tugal.
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : Dans le cadre d’une liquidation d’entreprise, entre autres griefs : défaut de conseil et TEG erroné sur un prêt professionnel.
Résultats : Le Tribunal condamne la Caisse de Crédit Mutuel de Laval Saint Tugal à payer les sommes suivantes :
30.000€ de dommages et intérêts, plus 6.402,33€ en remboursement des intérêts trop perçus, plus 2.000€ sur le fondement de l’article 700 (remboursement des frais d’avocat).



Le 10 novembre 2014, Tribunal d’Instance de Lagny sur Marne

Une militante de l’APLOMB contre la Caisse de Crédit Mutuel de Lagny Pomponne.
Dossier défendu par l’intéressée, à partir d’une étude technique de l’APLOMB supervisée par Maître DEBAY.

Objet : Compensation d’un découvert réclamé par la banque par le remboursement des commissions d’intervention (TEG de 140%).
Résultat : le jugement annule la demande de la banque, et la déboute de sa demande de remboursement au titre de l’article 700.



Le 22 septembre 2014, Tribunal de proximité de Thionville

Un militant de l’APLOMB contre la Banque Populaire de Lorraine Champagne.
Dossier défendu par l’intéressé, à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER et supervisée par Maître DEBAY.

Objet : Demande de remboursement de commissions d’intervention.
Résultat : Le tribunal condamne la Banque Populaire Lorraine Champagne à rembourser le client de la somme de 2.530,49€.



Le 21 mai 2014, Tribunal d’Instance de Douai

Un militant de l’APLOMB contre la Banque Populaire du Nord.
Dossier défendu par l’intéressé, à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER supervisée par Maître DEBAY

Objet : Demande de remboursement de commissions d’intervention pour 309€.
Résultat : Le tribunal condamne la Banque Populaire du Nord à rembourser le client, et rejette les demandes de dommage et intérêts pour procédure abusive présentée par la Banque Populaire du Nord.



Le 26 mai 2014, Tribunal du Commerce de Lyon

Une entreprise de bâtiment contre le Crédit Lyonnais
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY, à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER.

Objet : demande de remboursement de commissions d’intervention et autres frais pour 18.576,22€.
Résultat : Le tribunal condamne le Crédit Lyonnais à rembourser la somme de 18.576,22€



Le 9 mai 2014, Tribunal de Grande Instance de Grasse, Juge de l’Exécution.

Une militante de l’APLOMB contre CHEBANCA SPA.
Dossier instruit et défendu par Maître DEBAY, à partir d’une étude technique de l’APLOMB.

Objet : Déchéance du terme abusive, TEG erroné, procédure de saisie en cours, mais irrégulière, absence de pouvoir pour la Ste RECOCASH.
Résultat : Le TEG est incomplet et erroné, donc déchéance du droit aux intérêts. La banque est aussi sommée de répliquer sur l’irrégularité de la déchéance du terme, ainsi que des pouvoirs donnés à la Société RECOCASH. La vente est suspendue.



Le 2 septembre 2013, Tribunal de Grande Instance de Montpellier

Une militante de l’APLOMB contre le Crédit Agricole Mutuel de Languedoc.
Dossier instruit et défendu par Maître Katia DEBAY à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Jean-Claude JOUFFREY

Objet : TEG erroné sur un prêt immobilier.
Résultat : le tribunal condamne le Crédit Agricole à payer la somme de 35.000€, condamne la banque aux dépens ainsi qu’à la somme de 1.500€ au titre de l’article 700.



Le 23 décembre 2011, Tribunal d'Instance d'Ivry sur Seine

Une militante de l'APLOMB contre la Banque Populaire Rives de Paris
Dossier défendu par l’intéressée, à partir d’une étude technique de l’APLOMB par Gérard FAURE-KAPPER, supervisée par Maître DEBAY.

Objet : Demande de remboursement de commissions d’intervention générant un taux usuraire.
Résultat : Le tribunal condamne la Banque Populaire Rives de Paris à rembourser la cliente de la somme de 588€.