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lundi 7 mars 2016

Banque Populaire de Perros-Guirec. Et ils vont encore oser m'attaquer en diffamation.


Par Gérard Faure-Kapper

Je vous ai sollicité plusieurs fois pour m'affronter dans un débat radiophonique. Vous avez toujours refusé.

Qu'est-ce qu'il vous manque dans votre tête ? Du courage ? De la compétence ? Je ne vais pas vous manger tout de même. Un simple débat, ce n'est pas grand chose,

Et si la BPO n'a pas la carrure, il y a bien quelqu'un dans le groupe Natixis qui peut affronter mes arguments et soutenir une conversation ?

Pourtant vous refusez.

Bien sûr que vous avez chez vous des personnes qui peuvent tenir un tel débat.

Alors pourquoi ?

Parce que je vais mettre à jour, avec des mots simples, des arguments logiques, des démonstrations évidentes, des témoignages indéniables, je vais mettre à jour votre système élaboré de racket sournois de vos clients.

Un exemple ? En voici un.

Perros-Guirec,

Son macareux. Charmant petit oiseau qui vole au dessus de la cité.
Sa Banque Populaire, charmante petite banque qui vole dans la cité

La Banque Populaire a une cliente. Celle-ci remet un chèque de 8.341,43€ le 25 février 2016.
Le tireur du chèque a été débité sur son compte le même jour, le 25 février 2016 au Crédit Agricole.

L'informatique a fait beaucoup de progrès depuis les cartes perforées.

Le 3 mars, soit 7 jours après que cette opération se soit bien déroulée, La Banque Populaire débite son client de la somme du chèque, soit 8.341,43€.

A la question de la cliente, pourquoi ?

Réponse de la Banque Populaire, "Nous ne sommes pas sûr de l'encaissement du chèque".

Pourtant la Banque Populaire a bien touché ces fonds 7 jours plus tôt.

Je voudrais bien voir la tête de leur comptabilité. Ça doit être assez dantesque.

Ainsi, en détournant ces fonds, la Banque va créer artificiellement un découvert de 615€.

Pourquoi, mais pourquoi l'employée a-t-elle fait ça ?

Voilà l'explication:

Ce jour là, se présente un autre chèque, émis par la cliente de 8.000€.

En retirant les fonds, cela permet à la Banque d'émettre une lettre MURCEF:"Attention, vous avez 5 jours, pas un de plus, pour approvisionner le compte de 8.000€".

Cet argent existe pourtant, mais la banque l'a retiré.

Et au passage, la banque débite les frais de lettre de 12,80€.

Nous allons voir maintenant si la banque va aller jusqu'au bout de sa logique et refuser le chèque.

Ceci est la démonstration du rôle actif des banques dans la destruction de l'économie.

2 commentaires:

  1. merci grâce à votre communiqué la banque nous a restitué la somme

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  2. J'ai eu a faire a eux pendant mon hospitalisation dans un état comateux , sans avertir mon époux , pourtant mandataire sur ce compte ils ont purement et simplement réalisé tous mes avoir , ils ont meme " cassé " de façon anticipé mon comte épargne en action
    Donc a mon retyour a la maison j'ai eu la surprise de , non seulement ne plus pouvoir travailler , mais d'avoir perdu mes économies ,

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