Par Gérard Faure-Kapper
Avec
la nomination d’un banquier à Bercy, l’Etat réaffirme sa détermination contre l’ennemi
sans visage de la finance : les clients des banques.
Ce
combat sera mené sans merci et avec la même détermination et énergie que le
gouvernement mettra pour soumettre notre malheureux peuple à la merci des
banquiers.
Notre
objectif : que les lois républicaines s’appliquent également aux banques,
et que les infractions à la loi, comme le délit d’usure, soient punies avec la même
sévérité et rigueur impitoyable que les infractions bénignes aux règles de
stationnement ou dépassement de délai de paiement de l’impôt.
Si
les responsables se comportaient vis-à-vis des banques comme des agents de l’URSSAF ou
du RSI, c’est 65 milliards qui seraient remboursés chaque année aux
particuliers et aux entreprises.
Le
premier ministre est tombé amoureux des entreprises, soit, mais ce n’est pas
une raison pour les… léser avec une telle intensité.
Alors
que les preuves de pratiques usuraires délictueuses sont irréfutables et reconnues,
les banques adoptent une nouvelle stratégie consistant à prolonger les délais
et à chicaner sur chaque virgule.
L’action
de l’APLOMB comporte 6 phases
1ère
phase.
Les tribunaux insistent sur la nécessité pour
les clients de fournir les preuves de ce qu’ils avancent. Les reconstitutions
historiques de la vie des comptes et les analyses très précises menées par le
cabinet APLOMB FACE KAPPER apportent la réponse et cette preuve irréfutable
demandée.
2ème
phase
Cette
étude et la demande sera envoyée à l’agence, exigeant une réponse sous
quinzaine.
3ème
phase
Cette
demande préalable permet d’obtenir une réponse que nous dirigerons vers le
médiateur. Ceci est nouveau pour l’APLOMB, mais la réponse de celui-ci, si elle
n’est pas satisfaisante, nous permettra d’avoir tous les points d’appui pour
que notre avocate rédige l’assignation.
4ème
phase
Chacune
de ces opérations sera accompagné par un article personnalisé dans le blog de l’association,
avec en entête la photo de l’agence concernée et la publication des réponses.
Ce débat doit être public. Notre blog compte pas loin de 800.000 lectures, soit
un bon millier chaque jour.
5ème
phase
Pour
les banques mutualistes, Crédit Mutuel, Crédit Agricole et Banque Populaire, c’est
le responsable civil et pénal de la Caisse qui sera notre interlocuteur et le
destinataire des plaintes ou des requêtes. Ceci concerne les Conseils d’Administration
et de Surveillance qui devront s’impliquer dans leur localité.
6ème
phase
Tribunal.
C’est
ainsi que les affaires se présentent pour l’année à venir.
L’APLOMB
ne lâchera JAMAIS !
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