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vendredi 18 novembre 2011

La politique me fait halluciner.


Nous sommes à six marquotins de l’élection du grand dabe, et rien ne semble s’opposer à ce que le ci-devant représentant des grands bourges et de la mondialisation rempile pour cinq piges.

Notre pays est en pleine déprime que les prochains plans de rigueur vont accentuer. Les rombiers, non seulement n’ont que dalle, mais ils doivent un grisbi comac aux banques et à l’Etat.

Il n’y a plus aucun espoir de relance. Les boites sont fermagas. Le seul horizon, c’est le chômdu, et encore sans braise. Les michtons ne connaissent plus le toubib ni l’hosto, ne bectent plus, n’ont plus qu’une vieille caisse à l’agonie, des fringues ringardes. Ils n’ont surtout plus aucun espoir.

On pourrait gamberger que l’opposition va prendre les choses en pogne, replacer les gonzes au cœur du système, se réapproprier le système financier, relocaliser la production. Oui, mais le blème, c’est quelle opposition. Les socialos sont totalement divisés après les primaires, il y a presque autant de courants que de militants, et chacun tire dans le sens opposé de l’autre.

Ils ont leurs alliés écolos, mais ils ne sont en accord sur rien. Les greens eux-mêmes sont divisés, signent des accords sans la candidate officielle tandis que la cheftaine ne rêve que d’une circonscription à Paname.

Il reste les deux outsiders, Jean-Luc qui finalement représente la gauche citoyenne et Marine qui remplace la droite mondialiste.

En tout cas, l’APLOMB ne fera pas de politique et considère qu’elle n’a rien à attendre de ces élections.

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